domingo, 24 de abril de 2011

Arts Plastiques de Haut Niveau

Y compris plasma « faim et chômage », il a dit dans l'UNAM

ARROGANT SUPPOSER QUE LA VIE DANS NOTRE PLANÈTE TERMINE INÉVITABLEMENT EN 2012 : LEONARDO NIERMAN

*** VIS MA RÉALITÉ DES CITOYENS AVEC DES PALPITATIONS ABSTRAITES

Par: Ana Maria Longi

Editor: Juan Carlos Martínez

Le Mexique, D.F.- Quand Leonardo Nierman enverra à la toile une symphonie curveada de de rouges, de jaunes, de bleus ou verts ; le peintre suggère, peut-être, l'intensité d'une romance ; la destruction indescriptible d'un mondial ; la fureur d'un océan de lave ardente ; l'apparition mystérieuse d'un marin sans boussole ; ou, dans le plus surprenant des cas, « la faim et le chômage au moyen de palpitations abstraites ». ET avec ce qui est bleu profond de ses yeux il a aussi jugé : « Il me préoccupe, la même manière, qu'on parle tant de la Fin du Monde pour le 2012.
Le considère un acte d'arrogance suprême l'assurer ou le supposer. Interviewé par l'Agence Internationale le Coureur Informatif dans le récemment rajeunie Salle Nezahualcóyotl, l'artiste a clarifié en conférence de presse, que la decodificación d'un projet émotionnel plastique, ne constitue pas, évasion ou distance. « Mon projet, a été une revaloración constante.
Lui le mien est amour, plénitude, outil, énergie, lutte ouverte, présence, feu. Le contraire vide, à indifférence, abandon, douleur, faiblesse. Ma peinture est, pourrait être dite, ma source de lumière confierable contre toute obscurité. Il peut aussi être, le compagnon définitif de ma condition d'observateur de de ce qui est : Culture, société, écologie, éducation, économie, science, technologie, en fin, ce qui ou, mis en rapport avec mon pays, ma planète ou mon univers.
LE MEXIQUE LUMINEUX
Le peintre, le sculpteur - et violinista- otrora, exteriorizó aussi « remerciement vers ma patrie. Une gratitude profonde. Je crois que nous devons sentir de la gratitude vers tout. À la terre dans laquelle nous sommes nés ; celle qui produit les aliments que nous mangeons. En fin. Remercier, dans mon cas en ne pas vivre jamais avec des persécutions, agressions ou peurs, et cela on ne remercie beaucoup.
En outre, que je tombe bien ce qui est mexicain.Parce que même si nous on connaît comme fils de la Nouvelle Espagne, je crois que la partie espagnole correspond à celle du Sud. L'Andalou. Celle qui a dans la cajuela de sa voiture une guitare, au lieu d'un pneu de réfection.
ET cela j'aime. J'aime son caractère. J'aime son repas. Il n'y a pas cette ambition atosigante qui existe dans d'autres pays. Cette concurrence contre des gens que ni tu connais. Ce qui est mexicain, est un individu philosophiquement bien entonné à la vie ».
LE MEXIQUE A BESOIN SEULEMENT DE L'AMOUR
Nierman ajoute avec douceur, qui des défauts du Mexique ne souhaiterait pas parler, « parce que pour cela ce sont les périodiques, qui nous ont atosigados avec tant de signalisations. Mais personne ne nous a promis une vie recouverte d'un tapis ; bien que dans l'ensemble en effet aliment qui l'ingrédient qui lui manque, surtout à à beaucoup personnages de de pouvoir, est cette affection, cette passion par le Mexique. Le Mexique, a besoin, simplement, d'être aimé - vraiment, par ses dirigeants.
ET bon, à Galileo lui ils ont tracassé par beaucoup parce qu'il insistait que la Terre était ronde. ET par si dehors peu, qui donnait des retours. Ce qui est que nous vivons est un des retours que donne la Terre, le monde et l'homme. Il est comme une roue de la fortune, il est parfois un vers le bas. De commencement il commence à monter. Tout est beau, le paysage depuis en haut, les lumières, les sons des carruseles, et cette générosité qui dure seulement des moments pour, ensuite, commencer à baisser, et baisser.
ET clairement, à l'heure actuelle il a touché, malheureusement, nous vivre dans la faible partie. À à moi ce qui m'endommage beaucoup l'est du chômage. Je crois que le chômage est une situation terrible. Parce qu'il inspire tous les maux possibles. Il les délie. Un homme avec faim est capable de toute chose ».
FIN EL MUNDO ET CULTURE
Leonardo Nierman, a parlé avec simplicité sur « la fin du monde 2012 » : Je crois, il explique, que ce serait un acte « d'arrogance profonde, supposer qu'une planète qui porte millions d'années en circulation, va être finie dans notre période de vie. Ceci est franchement très arrogant. Je ne crois pas qu'il soit fini et si ceci il arrivait, le plus calculable est qu'il sera beaucoup d'années après notre inhumation.
Bien que ce qui en effet est plus prévisible soient nos actions culturelles. Un phénomène très lié à notre Économie. que dans un pays où le salaire minimal est limité à 54 poids quotidiens, il ne peut pas avoir des restes pour livres, disques, spectacles. Preséntenme à à un beau qui avec 4 ou 5 dollars quotidiens, peut maintenir à une famille. ET bien que le Mètre soit bon marché et il y ait une certaine subvention d'aliments, on doit payer le revenu, la lumière, les chaussures et on ne peut pas demander plus parce qu'il n'y a pas de restes pour affaires culturelles. Profitons alors au maximum des valves culturelles comme les canaux 11, 22 et 40 entre autres », il a abrégé l'artiste Nierman.

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